Toshiba OCZ RC100 240 Go

Toshiba OCZ RC100 240 Go

1 tests d’experts - Aucun avis d'internautes

4.0/10
11

S'abonner

0

0

Je le veux

0

Je l'ai

0

Je l'ai eu

0

Nous avons réuni 1 tests du Toshiba OCZ RC100 240 Go. Les experts notent Toshiba OCZ RC100 240 Go 4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Toshiba OCZ RC100 240 Go et d'autres Disque dur SSD Toshiba.

  • Ecrire un avis
  • Démarrer une discussion
  • Poser une question
  • Demander de l'aide

Evaluez ce produit sur une note de 10 :

Ecrire une discussion

Vous rencontrez un problème ? Vous souhaitez partager une info ? Vous ne savez pas quel produit choisir ?

Titre (requis)

Décrivez votre message (requis)

Tag : - Général : - Aide : - Bon plan : - Astuce : - Guide : - Question :

Ecrire une question

Vous avez une question à propos de Toshiba OCZ RC100 240 Go ?

Titre de votre question (requis)

Décrivez votre question (requis)

Demander de l'aide

Vous avez un problème avec Toshiba OCZ RC100 240 Go ?

Titre de votre demande d'aide (requis)

Décrivez votre problème (requis)

Test Toshiba OCZ RC100 240 Go

Les Numeriques

Ajouté le : 06/2018

Lire la suite...

4.0/10

Toshiba OCZ RC100 240 Go : le SSD NVMe premier prix

Toshiba a décidé de se lancer sur le segment des SSD NVMe d'entrée de gamme, un secteur encore peu exploité par la concurrence. L'idée est ici de proposer un produit à un tarif proche de celui des SSD SATA (70 € annoncés pour cette version de 240 Go) tout en offrant des performances plus élevées. Pour y parvenir, la firme a réduit les coûts au maximum et nous allons voir si cela n'impacte pas trop le comportement de ce Toshiba OCZ RC100 dans la pratique. Le Toshiba OCZ RC100 est un SSD NVMe au format M.2 2242. Qui dit SSD NVMe, dit SSD au format M.2. C'est donc sous la forme d'une barrette que se présente le RC100, mais celle-ci est bien plus petite que ce que l'on a l'habitude de rencontrer. En effet, il s'agit ici de M.2 2242 et non de M.2 2280 — comprendre que le module fait 42 mm de long contre 80 mm de long. Si la communication de Toshiba tend à mettre en avant cette taille réduite, nous n'y voyons pas vraiment d'avantage réel pour l'utilisateur. En effet, l'espace gagné en utilisant ce module plutôt qu'un module 2280 ne pourra être mis à profit pour autre chose tandis que le gain en poids est insignifiant. En revanche, en optant pour une telle longueur, Toshiba n'a eu d'autre choix que de jouer d'ingéniosité pour caser tous les composants sur cette surface réduite. En observant le circuit imprimé, on remarque de prime abord que les composants sont très peu nombreux et, surtout, qu'on ne compte qu'une seule grosse puce. Toshiba a ainsi combiné la mémoire NAND et le contrôleur au sein d'un même package (l'enveloppe physique) de manière à gagner de la place. Dans la même optique, l'impasse a été faite sur la mémoire cache. Pour contrecarrer cette absence, Toshiba a recours au HBM (Host Memory Buffer), une fonctionnalité de la norme NVMe permettant d'utiliser une partie de la mémoire vive (38 Mo dans le cas présent) d'un ordinateur pour servir de cache rapide. Un fonctionnement qui n'est pas nouveau en soi, mais qui ne nécessite ici l'installation d'aucun utilitaire spécifique pour l'activer. Une seule puce est présente et celle-ci renferme à la fois le contrôleur et la mémoire NAND. D'un point de vue technique, la mémoire est de type NAND 3D et issue des usines de Toshiba, évidemment. Il s'agit de BiCS TLC à 64 couches, c'est-à-dire que chaque cellule peut contenir trois bits de données et que les cellules sont empilées sur 64 couches. Il s'agit d'une répartition de la mémoire désormais assez...