Metro : Last Light

Metro : Last Light

12 tests d’experts - Aucun avis d'internautes

7.3/10
88

S'abonner

0

0

Je le veux

0

Je l'ai

0

Je l'ai eu

0

Nous avons réuni 12 tests du Metro : Last Light. Les experts notent Metro : Last Light 7.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metro : Last Light et d'autres Jeux PC.

  • Ecrire un avis
  • Démarrer une discussion
  • Poser une question
  • Demander de l'aide

Evaluez ce produit sur une note de 10 :

Ecrire une discussion

Vous rencontrez un problème ? Vous souhaitez partager une info ? Vous ne savez pas quel produit choisir ?

Titre (requis)

Décrivez votre message (requis)

Tag : - Général : - Aide : - Bon plan : - Astuce : - Guide : - Question :

Ecrire une question

Vous avez une question à propos de Metro : Last Light ?

Titre de votre question (requis)

Décrivez votre question (requis)

Demander de l'aide

Vous avez un problème avec Metro : Last Light ?

Titre de votre demande d'aide (requis)

Décrivez votre problème (requis)

Test Metro : Last Light

EuroGamer.fr

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

7.0/10

Metro: Last Light TEST

Metro : Last Light est la suite du jeu du studio ukrainien 4A Games paru en 2010. Si Métro 2033 était une adaptation du roman éponyme de Dmitri Gloukhovski, ce nouvel opus n'en emprunte que l'univers. Mais trêve de littérature, embarquons-nous dans une Russie dévastée et dystopique (société contre-utopique où le bonheur est impossible à atteindre). Pour survivre à ce test, il vous faudra une bonne dose de courage et plus important, un masque à gaz. Survival-Horror de tir à la première personne, Metro : Last Light nous fait incarner Artyom pour la seconde fois. Devenu ranger émérite, il se voit confier une mission que lui seul peut réussir. Retrouver un Sombre ! C'est le dernier de son espèce, après que notre héros les ait tous décimés et transformés en chaleur et lumière. Et un missile thermobarique, un ! Si les Sombres ont été éradiqués, c'est parce que leur force et leurs compétences télépathiques représentaient une menace pour l'humanité (ou du moins ce qu'il en reste). Au fil des missions, nous comprenons qu'Artyom a un lien étrange avec les Sombres et un passé trouble qui lui revient par flash. Dans sa quête, notre survivant devra affronter les « cocos » de la Ligne rouge et les « fachos » du Reich.

Gamekult

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

6.0/10

Test de Metro : Last Light

Sorti en 2010, Metro 2033 avait réussi à se faire une petite place dans l'univers encombré des FPS narratifs grâce à un moteur aussi beau que mal optimisé et un monde post-apocalyptique original et convaincant. Un jeu à part, qui misait tout sur l'immersion du joueur avec une certaine efficacité, faisant un peu oublier des lacunes de gameplay pourtant bien présentes. Trois ans et la chute de THQ plus tard, les Ukrainiens de 4A Games remettent le couvert avec Metro Last Light sous la houlette de Deep Silver pour une nouvelle plongée en apnée dans les entrailles du métro moscovite. La ligne généraleLe jeu se déroule désormais en 2034, à Moscou et toujours dans le métro mais n'est pas pour autant l'adaptation du livre Metro 2034 de Dmitri Gloukhovski. En effet, Metro Last Light développe une histoire originale qui prend la suite directe du premier jeu et dans laquelle on retrouve Artyom à la poursuite du dernier sombre, créature humanoïde aux pouvoirs psychiques, ayant échappé à la destruction du nid en 2033. Couloirs obscurs, stations-dortoirs bondées ou une surface plongée dans l'hiver nucléaire, Artyom va à nouveau voir pas mal de pays tout au long de son aventure. Un périple qui restera tout de même majoritairement souterrain mais pas redondant pour autant. Chaque endroit bénéficie d'un soin minutieux et possède une atmosphère et des particularités qui lui sont propres ; certains décors sont ainsi à couper le souffle.

JeuxVideo24

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

7.0/10

Test de Metro : Last Light

Trois ans après un Metro 2033 encourageant, le studio 4A Games arrive avec une suite intitulée Metro Last Light. Nous voilà donc reparti dans les tréfonds du métro russe dans la peau de ce cher Artyom qui doit de nouveau sauver sa vie ainsi que celle de ses habitants. Reste à savoir si le développeur ukrainien a appris de ses erreurs et n'a pas trop souffert de son passage chez Deep Silver. Metro Last Light se déroule un an après les faits du premier volet, soit en 2034. Artyom a anéanti la menace des « sombres » alors que les Rangers ont récupéré le silo D6. Cependant, le danger est toujours présent et se trouve cette fois-ci du côté des hommes avec d'un côté l'armée rouge et de l'autre le quatrième Reich, toujours enfouis dans les tunnels de la capitale russe. Première petite déception, l'histoire ne se base que sur l'une des deux fins du premier opus. Impossible donc de choisir celle où l'on sauve les sombres étant donné que le scénario changerait du tout au tout. Néanmoins, ce choix permet d'apprécier un début d'aventure qui nous prend correctement par la main. On revoit ainsi d'anciennes connaissances qui nous aident à reprendre nos vieilles habitudes.

JeuxVideo PC

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

7.0/10

Test Metro : Last Light

Adaptation vidéoludique du roman éponyme de Dmitri Gloukhovski, Metro 2033 avait pour lui une ambiance incroyable et ce, en dépit de quelques faiblesses au niveau du gameplay. Aujourd'hui, près de trois années plus tard, 4A Games remet le couvert en sortant une suite à leur titre, nommée Metro Last Light. Pleins de bonne volonté, travaillant dans des conditions déplorables (comme le décrit très bien ce post mortem de Jason Rubin), les développeurs du titre n'en n'ont pas moins délivré une partition en demi-teinte, qui n'est pas sans rappeler le premier épisode, avec ce qu'il comptait de qualités et de défauts. A la fin de Metro 2033, notre héros, Artyom, assistait à la destruction du nid des « Sombres », ces créatures mystérieuses fruits des radiations. Du moins, dans la fin « normale » du jeu, car ce métro Last Light fait fi de la fin alternative, tout comme il s'affranchit de Métro 2034, suite officielle de l'histoire. C'est donc un Artyom hanté par ses actions, tourmenté par des visions de son passé, que l'on retrouve au début du jeu. Accepté au sein de l'Ordre, il est devenu un membre respecté de la communauté.

JeuxVideo.com

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

7.5/10

Metro : Last Light

Trois ans après la sortie de Metro 2033, 4A Games revient avec une suite adoptant un principe similaire. Préparez-vous donc à un FPS narratif basé sur une ambiance prenante et un côté survival-horror marqué, tout en proposant un aspect couloir et scripté à la Call of Duty. Si cette formule fonctionnait en 2010, est-elle encore pertinente en 2013 ? A l'origine de Metro 2033, il y avait un livre. Celui-ci a connu une suite logiquement nommée Metro 2034 contant les aventures d'un héros inédit dans une nouvelle ville. 4A Games n'a toutefois pas choisi d'adapter cet épisode, préférant se concentrer sur le héros du premier opus : Artyom. Last Light s'affranchit donc des romans afin de narrer une histoire inédite, mais rassurez-vous, le scénario et les dialogues de Last Light ont été écrits par l'auteur des romans himself, à savoir Dmitri Gloukhovski. On y retrouve alors un Artyom dévasté par la fin de l'épisode précédent (la fin classique, pas l'alternative) et cherchant à se racheter une conscience tout en tentant de prévenir une guerre latente entre les différentes factions qui se sont installées dans le métro moscovite afin de fuir l'hiver nucléaire.

Gameblog

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

7.0/10

Test : Metro : Last Light sur PC

La peur était le moteur de Metro 2033. Peur du noir, peur de manquer d'air, peur d'être à court de munitions : le joueur avait de multiples raisons de s'inquiéter. FPS au feeling bancal, Metro 2033 offrait une atmosphère qui comblait largement ses lacunes de gameplay. En voulant corriger l'aspect FPS, 4A Games a peut-être gâché sa recette.Metro : Last Light fait directement suite à Metro 2033 : en 2034, on relace à ses pieds les chaussures boueuses d'Artyom, le héros de la série, après son "coup d'éclat" qui marque la fin du premier épisode. On retrouve également certains personnages emblématiques et surtout, les Dark Ones, ces créatures aussi fascinantes que dangereuses. Quant à l'environnement, il reste le même : un Moscou irradié et en ruine, avec ses sous-sols peuplés de bestioles peu accueillantes. Si le bestiaire n'est pas des plus variés, il offre quelques rencontres qui ont tout du "boss de fin de niveau". Une excellente raison d'avoir toujours une bonne réserve de munitions ! Je n'en dirais pas plus, rassurez-vous. Mais sachez que le scénario est loin de rester dans le post apocalyptique classique comme l'auraient certainement préféré certains.

Journal du Gamer

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

8.0/10

Test – Metro Last Light [PC] : (presque) touché du divin !

Il y a trois ans, Metro 2033 avait surpris les joueurs en proposant une plongée post-apocalyptique au cœur du métro moscovite. Plus vrai que nature, l'univers mature qui se dévoilait sous nos yeux avait su séduire les amateurs de FPS narratif malgré quelques petits défauts de gameplay. Loin de changer d'orientation, les développeurs ont décidé de faire évoluer leur jeu tout en capitalisant sur son point fort : l'ambiance.Si les Rangers sont parvenus à réhabiliter la base D6 en refuge pour leur groupe de survivants, la présence d'un Sombre dans les ruines de leur ancien habitat n'est pas sans réveiller quelques craintes. Envoyé pour abattre ce dernier survivant, Artyom va vite se rendre compte que la créature intéresse d'autres groupes réfugiés dans le métro… Pas question ici de prétexte à un enchaînement de fusillades : si le scénario vous entraîne de nouveau aux quatre coins du métro, il s'agit avant tout d'une aventure à taille humaine. Mâtinée de réflexions sur la folie des hommes, l'évolution des espèces ou la notion de « bien », l'histoire est bien écrite et profite énormément des dialogues entre les PNJ pour s'étoffer.

JeuxActu

Ajouté le : 05/2013

Lire la suite...

8.5/10

Test Metro Last Light : mieux que Metro 2033 ?

A l'origine, Metro 2033 est un roman post-apocalyptique de Dmitry Glukhovsky. L'adaptation ludique sortie il y a 3 ans avait su trouver son public, et marquer les esprits grâce à une réalisation et une ambiance à couper le souffle. Un temps envisagée comme étant l'adaptation du roman Metro 2034, Metro Last Light bénéficie finalement d'une histoire originale, qui fait directement suite aux évènements précédemment vécus par les joueurs.Nous retrouvons donc Artyom, notre héros, qui croit avoir sauvé l'humanité en exterminant tous les Sombres à l'aide de missiles dirigés sur leur nid. Mais aussi inquiétantes furent-elles, ces créatures filiformes ne cherchaient en réalité qu'à communiquer avec la race humaine. Artyom va progressivement s'en rendre compte, alors qu'il part à la poursuite du dernier des Sombres, seul rescapé de la gigantesque explosion. Et des explosions, le Moscou futuriste que l'on nous présente en a connu ! L'hiver nucléaire s'est abattu depuis longtemps sur la capitale russe, obligeant les habitants à se réfugier dans les souterrains du métro pour échapper aux radiations mortelles.

JeuxVideo.com

Ajouté le : 05/2012

Lire la suite...

Metro : Last Light (Preview)

Suite directe du remarqué Metro 2033, sorti en mars 2010 sur 360 et PC, ce FPS post-apocalyptique refait parler de lui aujourd'hui suite à une nouvelle - mais courte - démo présentée par les développeurs... A la vision du court-métrage assez impressionnant qui précédait la présentation, une chose paraissait d'ores et déjà sûre : le traitement hors normes de l'univers du jeu, mélange détonnant de post-apocalyptique et de survival-horror. Il faut dire que le petit film en question, fort bien réalisé et durant une dizaine de minutes, plante à merveille le décor en montrant une poignée d'individus qui se réfugient dans le métro souterrain de Moscou, à la suite d'une attaque atomique surgie d'on ne sait où. Couleurs délavées, personnages hystériques ou au contraire glacials, ambiance ténébreuse et limite malsaine : les ingrédients du court-métrage se retrouvent en réalité dans l'aventure... L'action se déroule donc dans un futur proche, peu de temps après le premier jeu. Les survivants de l'apocalypse nucléaire se sont réfugiés sous terre, dans le métro. Problème : non seulement de dangereux mutants y rodent mais en plus certaines stations sont sous la coupe de psychopathes qui veulent dominer le monde, comme des adorateurs du Troisième Reich. Cela dit, il est possible de sortir temporairement du métro et d'explorer un peu l'extérieur.

Jeux Vidéo Magazine

Ajouté le : 06/2011

Lire la suite...

Metro : Last Light (Preview)

C’était l’une des très bonnes surprises de l’an dernier. Metro 2033, adapté d’un roman russe du même nom, nous emmenait dans un Moscou dévasté et irradié, où les derniers survivants se terraient dans les couloirs du métro. En surface, des créatures avaient profité de la radioactivité pour muter et prendre ainsi des voies de traverse douteuses sur la chaîne de l’évolution. Il était donc plus que déconseillé de s’aventurer hors du métro sans un masque à gaz et une bonne vieille pétoire. Mais sous la terre, ce n’était pas la joie non plus. Au-delà des mutants qui avaient réussi à pénétrer dans les stations de métro, une véritable guerre civile avait lieu. Elle opposait certains nostalgiques du nazisme à des vétérans du stalinisme. Pris entre tous ces feux, le héros Artyom, tentait de mener à bien sa propre quête. Et de protéger les siens d’une menace plus grande encore que tout ce qui vient d’être évoqué… Le point fort de Metro 2033 résidait avant tout dans son atmosphère. L’aspect post-apo était particulièrement bien rendue grâce à une mise en scène mélancolique, faisant la part belle aux photos souvenir d’une époque révolue, aux personnages secondaires désabusés et aux musiques tristounettes. Et surtout, il y avait des passages extrêmement flippants.

JeuxActu

Ajouté le : 06/2011

Lire la suite...

Metro Last Light (Preview)

Avant d'être un jeu, Metro 2033 est un livre écrit par le romancier russe Dmitry Glukhovsky, également auteur d'une suite intitulée Metro 2034. On s'attendait donc naturellement à ce que le nouveau FPS du studio ukrainien 4A Games porte le même nom. Mais il n'en sera rien, car le livre se prête assez mal à une adaptation vidéoludique d'après les développeurs. C'est donc finalement l'appellation Metro : Last Light qui a été retenue pour le jeu. Le scénario, inédit, se déroule directement après les évènements de Metro 2033 et nous met une fois de plus dans la peau d'Artyom, ce survivant élevé à la dure dans les souterrains du métro moscovite. La séquence de jeu qui nous a été récemment présentée commence par un survol des rues de Moscou. Ce long travelling nous confirme d'emblée que l'ambiance post-apocalyptique du jeu original est toujours d'actualité. Une épave d'avion échouée en pleine rue, un embouteillage immobile de carcasses de voitures, et le passage dans le ciel d'étranges créatures ailées donnent de sérieux indices quant à l'hiver nucléaire que subit la ville. S'en suit une descente aux enfers, ou plus exactement dans les égouts, vue à travers les yeux d'Artyom.

JeuxVideo.com

Ajouté le : 06/2011

Lire la suite...

Metro : Last Light (Preview)

C'est bien connu, la fin du monde approche à grands pas. Il ne faut pas arrêter de vivre pour autant et on peut déjà se demander comment on s'organisera lorsque l'hiver nucléaire s'abattra sur nous. Si vous êtes du côté de Moscou lorsque l'Armageddon tape à votre porte, faites donc un tour dans les dédales du métro. Ces couloirs sombres constitueront en effet l'un des derniers bastions de l'humanité face aux monstruosités nées de la catastrophe... Le roman de Dmitri Gloukhovski a beau être un véritable best-seller, c'est avant tout le jeu vidéo qu'il a inspiré qui a fait connaître Métro 2033 en Occident. Ce FPS reprenait la trame du livre pour nous faire découvrir un univers postapocalyptique original dans les entrailles de la capitale russe. Comme son nom l'indique, il nous plongeait une vingtaine d'années dans le futur et il nous faisait arpenter les couloirs du métro moscovite où les survivants de la catastrophe posaient les bases d'une nouvelle société. La vie à la surface était devenue impossible à cause des différentes contaminations toxiques, et elle était loin d'être idyllique sous terre : d'horribles monstres harcelaient ceux qui y avaient trouvé refuge et les habitants de certaines stations du métro se livraient une guerre farouche.

TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Metro : Last Light. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Metro : Last Light.