Sigma sd Quattro

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Nous avons réuni 3 tests du Sigma sd Quattro. Les experts notent Sigma sd Quattro 7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Sigma sd Quattro et d'autres Appareil photo numérique Sigma.

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Test Sigma sd Quattro

01net

Ajouté le : 12/2016

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6.0/10

Test : Sigma SD Quattro, l'hybride qui ne jure que par la qualité d'image et rien d'autre

Sigma ne fait rien comme les autres : PME familiale dans le monde des Canon, Nikon ou Sony, la marque japonaise cultive sa différence. Elle a toujours fait des choix, plus ou moins heureux, mais elle les a toujours assumés. Et n'a cessé de progresser, que ce soit lors de la redéfinition de sa gamme optique, avec la gamme ART notamment, à l'excellent rapport qualité d'image-prix, ou dans sa poursuite de la qualité d'image parfaite avec ses compacts DP Quattro, des appareils intégrant la nouvelle mouture du capteur Foveon et sur lesquels s'appuie le SD Quattro, le premier appareil photo hybride la marque. Sigma a déjà conçu des reflex à capteur Foveon APS-C, les SD, dont la distribution et les ventes furent confidentielles. Cela a permis à la marque nippone d'acquérir un savoir-faire qui se ressent lorsque l'on prend le SD Quattro en main : la qualité de fabrication est tout bonnement impeccable. Elle est même tellement bonne qu'on a du mal à concevoir qu'une telle qualité 100% made in Japan puisse ne coûter que 800 €! Côté ergonomie les choix sont radicaux, pour ne pas dire clivant - viseur électronique au milieu de l'appareil, poignée énorme, ligne découpée en dessous de manière étrange, bouton d'allumage sur le fût de la baïonnette, etc. Si tous ces choix ne sont pas rationnels du point de vue d'un reporter qui chercherait un appareil à la prise en main parfaite - c'est loin d'être la cible de Sigma - cela peut répondre aux besoins d'un photographe de studio qui recherche un boîtier aux commandes bien dissociées et au look unique. Et une chose est évidente : si Sigma faisait la même chose que les autres, la marque aurait du mal à sortir du lot sur les linéaires. Ce dont la marque a bien besoin face aux mastodontes de la photo. Contrairement à 99,9% des capteurs CMOS de nos appareils photos et smartphones qui utilisent un capteur dit "à matrice de Bayer", les appareils Sigma sont équipés d'un capteur unique appelé Foveon. Contrairement aux capteurs Bayer où chaque photosite - improprement appelé pixel - ne code que pour une seule couleur, chaque photosite d'un capteur Foveon reçoit les informations colorées des 3 canaux rouge, vert et bleu. Quand les appareils à matrice de Bayer utilisent des algorithmes pour reconstituer les informations des deux canaux manquant de chaque photosite en faisant la moyenne des informations colorées des photosites adjacents, le Foveon reçoit toutes les informations sur...

Les Numeriques

Ajouté le : 09/2016

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8.0/10

Sigma sd Quattro : l'hybride Foveon venu d'une autre planète

Les Sigma dp Quattro sont des compacts experts fabuleux, quoique volontairement atypiques, qui brillent par l'ingéniosité et la qualité de leur capteur Foveon X3 Quattro associé à une focale fixe inamovible. Avec les hybrides sd Quattro, Sigma transpose les vertus de ses capteurs éponymes dans un boîtier à objectifs interchangeables en monture SA tout en restant fidèle aux principes de la marque : qualité de fabrication irréprochable et ergonomie très finement pensée... bien qu'elle ait l'air de débarquer d'un monde parallèle au premier abord. Précédemment, les Sigma sd étaient des reflex en monture SA. En 2016, Sigma fait donc sauter le miroir, abandonne le format reflex et propose deux (gros) hybrides très originaux : un sd Quatro H pourvu d'un capteur Foveon X3 Quattro APS-C capable de générer des images de 51,2 Mpx et un sd Quattro, pourvu du même capteur Foveon X3 Quattro APS-C que les compacts éponymes, capable de délivrer des images de 39 Mpx. C'est de ce dernier dont nous vous proposons le test aujourd'hui. Petit capteur, grandes images. "Mais bon sang, comme on l'allume ce machin ?" Telle est la première question que se posent tous ceux qui, à la rédaction, ont dû manipuler le Sigma sd Quattro. "Ce n'est pas sur le capot à droite, ce n'est pas sur le capot à gauche, ce n'est pas à l'arrière... Tiens, ça doit être dessous. Ah non. Hummm... Mais... non... attends... ils n'ont quand même pas... ah si. C'est là. Bizarre." Bizarre, en effet : le commutateur On/Off se situe, très originalement, sur la partie gauche du fût optique ou, plutôt, devrions-nous dire, sur le tube allonge. En effet, avec un boîtier de 34 mm d'épaisseur et une monture SA de 44 mm de tirage mécanique, il y avait de la place. Une solution exotique mais efficace à un problème pratique, c'est un peu le fil conducteur de l'ergonomie du sd Quattro. Non, vous ne rêvez pas : le sd Quattro s'allume bien par là. Tout dans ce boîtier est fait pour remettre en cause vos habitudes photographiques. Rien n'est ordinaire ni habituel mais il suffit de quelques secondes pour réaliser, avec un immense plaisir, que le sd Quattro a été pensé par des photographes, pour des photographes, que les ingénieurs ne se sont pas contentés de balancer en vrac les touches et commutateurs au fur et à mesure qu'ils leur venaient à l'esprit.

FocusNumérique

Ajouté le : 02/2016

Plus accessible...

Test - Sigma sd Quattro

Il y a deux ans, lors de la photokina 2014, nous demandions à Kazuto Yamaki, PDG de Sigma, si nous pouvions espérer voir arriver un boîtier compact à objectifs interchangeables. Il nous répondait que pour l'instant la gamme reflex SD était cette réponse. En fin d'entrevue, il nous donnait rendez-vous pour la suite de la gamme sd. Elle est arrivée ! Et elle arrive en force puisque ce n'est pas un, mais deux boîtiers qui sont annoncés : les Sigma sd Quattro et sd Quattro H. Le plus gros changement visible est bien sûr l'abandon de la cage reflex et de la visée optique : ll n'y a plus de miroir et donc plus de visée optique, la gamme sd Quattro devient donc la première lignée d'appareils photo hybride chez Sigma. Au premier coup d'oeil, on ne peut pas s'empêcher de penser au Ricoh GXR et ses modules interchangeables. Il y a un petit air de famille, mais le principe est totalement différent. Sur le GXR, c'est la partie capteur + optique qui pouvait s'interchanger. Comme la série dp Quattro, les sd Quattro apporte donc un peu de fraîcheur au niveau du design et une réelle singularité à la marque. Le châssis est en alliage de magnésium et dispose d'une finition à l'épreuve des intempéries. Notez que le filtre anti-poussière placé devant le capteur est maintenant dans cette version. Les poussières ne peuvent donc pas entrer à l'intérieur du boîtier. Sur le dessus de l'appareil vous trouverez la commande de mise sous tension, la griffe porte accessoire, le viseur électronique, deux molettes de réglages (avant / arrière) et la touche QS (Quick Set Menu) qui permet d'accéder rapidement à 8 différents réglages comme la balance des blancs, le ratio des images ou le mode couleur. La commande Lock permet de verrouiller les réglages des sd Quattro afin de prévenir des modifications intempestives. Le dos de l'appareil évolue notablement et vous remarquerez immédiatement l'écran LCD très allongé. En réalité, il s'agit de deux écrans. Le premier de 7,6 cm de diagonale, affiche "classiquement" la scène photographiée et donne accès aux menus. Un second écran affiche les statuts de l'appareil : temps de pose, ouverture, sensibilité ISO, nombre de vue disponible... La visée électronique est confiée à un modèle de 2 360 000 points qui dispose d'un grossissement de 1,09x (soit environ 0,72x en équivalent 24x36) ce qui devrait être assez confortable. Un commutateur permet de basculer la visée sur l'écran ou dans le...