Ninety-Nine Nights II
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Nous avons réuni 10 tests du Ninety-Nine Nights II. Les experts notent Ninety-Nine Nights II 4.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Ninety-Nine Nights II et d'autres Jeux Xbox 360.
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Test Ninety-Nine Nights II
Univers Consoles
Ajouté le : 10/2010
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Ninety-Nine Nights 2
Après un premier volet paru en 2006, Konami revient avec une nouvelle mouture de son beat them all de masse : Ninety Nine Nights II. En son temps, l'aîné de la saga joua la carte du titre axé sur une certaine surenchère technique autour d'un thème simple (pour ne pas dire simpliste) ; le bien affrontant le mal. Le tout en rappelant en permanence la série des Dynasty Warriors... Quatre printemps plus tard, on pouvait espérer un gameplay plus étoffé et un scénario accrocheur. Que l'on soit "mordu" par le genre ou pas, Koei a su épaissir sa saga via un background historique, certes fantasmé mais procurant une certaine profondeur à ses titres. Les royaumes de la Chine médiévale ont inspiré bien des mangaka et créateurs de jeux. Au même titre, le sauvage et "slippé" Kratos jouit de l'aura divine des dieux olympiens et, là encore, la mutilation des troupes adverses trouve avec cette toile de fond, un écho conséquent. À contrario, N3 II fait table rase de toute envie de pousser un hypothétique background au rang d'art, posant son synopsis en une phrase : les elfes n'aiment pas les troupes du chaos. Pour le reste ?
Ninety-Nine Nights II
Pour de nombreux joueurs Ninety-Nine Nights reste le premier beat'em all massif de la Xbox 360. Pas totalement convaincant dans sa réalisation et sa finition, le premier opus a le mérite d'avoir lancé le genre sur les consoles de dernière génération et avait de ce fait bénéficié de la clémence du public. Quatre ans après c'est Feelplus, studio japonais à qui l'on doit Lost Odyssey, qui a la lourde tâche de remettre la licence sur pied avec comme objectif de proposer quelque chose de plus extrême et de plus épique afin de satisfaire l'exigence des joueurs qui, depuis 2006, a bien évoluée. Bien que portant le même nom, Ninety-Nine Nights II n'est pas vraiment une suite au premier opus. Si le genre reste bien entendu le même, c'est avec cinq nouveaux héros que le joueur est invité à sauver le monde. Car tout comme son prédécesseur, l'histoire est ici aussi minimaliste que possible et se résume à un bête combat du bien contre le mal. Alors que la bataille fait rage entre les deux factions, un jeune héros, Galen, débarque on ne sait d'où pour faire le ménage à grands coups d'épée et ainsi repousser les assauts du seigneur des ténèbres.
Ninety-Nine Nights 2
Quatre ans se sont écoulés depuis Ninety Nine Nights premier du nom. Phantagram a cette fois passé les reines du développement au studio Feelplus. A la fois défouloir et véritable boucherie, ce beat'em all exclusif à la machine de Microsoft parviendra-t-il à corriger les défauts de son prédécesseur ? Les joueurs de la première heure sur Xbox 360 se souviendront sans doute de ce premier volet qui à l'époque avait bénéficié d'une grosse couverture marketing. A contrario cette suite sort sans trop faire de bruit. La recette n'a pas changé, les missions se succèdent et se ressemblent, des vagues d'ennemis déferlant par centaines parsemant l'environnement d'hectolitres de sang. Une chose est certaine : ce n'est pas par son scénario très recherché que Ninety Nine Nights 2 s'attirera la faveur des joueurs.Le jeu s'articule autour d'un conflit qui vous fera découvrir les destins croisés de cinq personnages : Galen le chevalier, Sephia la princesse, Maggni l'ogre, Zazi la jeune femme court vêtue et Levv le gobelin. Le joueur n'aura d'autre choix que de débuter l'aventure avec Galen venant à la rescousse de Sephia et de son palais assailli par l'armée du seigneur des ténèbres.
Test Ninety-Nine Nights II
Suite relativement improbable après l'échec d'un précédent épisode qui avait pourtant accompagné à peu de choses près la sortie de la Xbox 360, Ninety-Nine Nights II repose dans ses grandes lignes sur les « acquis » de son prédécesseur. Addictif, malgré des lacunes de rythme et une redondance évidente, le jeu de Phantagram avait pour lui d'être développé justement par l'équipe derrière l'excellente série Kingdom Under Fire. Placé dans les mains de l'aléatoire Feelplus, Ninety-Nine Nights II peut-il avancer dans la catégorie des titres « pop-corn » à peu de frais comme son grand-frère ?Les choses vont mal dans un lointain royaume en proie aux légions des ténèbres. Une jolie reine, secondée par un sage qui n'aspire qu'au bien de son peuple, entre alors en contact avec Galen, un guerrier plutôt bourru. Malgré sa sauvagerie et son air renfrogné, ce dernier va bien évidemment devenir l'espèce de leader d'un sauvetage massif du monde en éliminant tout ce qui ressemble de près ou de loin à un démon. Un gimmick scénaristique qui traîne depuis des dizaines d'années, et qui a souvent tendance à dévoiler rapidement des lacunes qui résident sous cet aveu de faiblesse imaginative.
Test de Ninety-Nine Nights II
Beaucoup de joueurs ont sans doute oublié N3 : Ninety-Nine Nights, une des toutes premières exclusivités de la Xbox 360. Souvenez-vous, il s’agissait d’un beat’em all massif dans l’esprit de la série Dynasty Warriors. A ceci près que l’univers évoqué était ici l’heroïc-fantasy plutôt que l’Asie médiévale. Si N3 premier du nom n’a pas laissé un souvenir impérissable en terme de gameplay, on ne pouvait par contre pas lui reprocher sa narration intelligente, qui nous plongeait tour à tour dans la peau des différents belligérants d’une seule et même guerre. L’occasion pour le joueur de saisir les points de vue et les intérêts de chaque protagoniste et de se rendre compte de l’inutilité et de la stupidité du conflit. Ce sont ses qualités-là que l’on espère retrouver, quatre ans plus tard, dans Ninety-Nine Nights II. Cette fois-ci, le scénario lorgne clairement du côté de Tolkien. Le Seigneur des Ténèbres a été réveillé par une odieuse sorcière. Dans quelques jours, il sera en mesure de retrouver l’ensemble de ses pouvoirs. Cinq personnages, que tout oppose à la base, vont devoir s’entraider pour vaincre leur ennemi commun avant la date fatidique. Le personnage central s’appelle Galen.
N3 II : Ninety-Nine Nights
En 2006, N3 : Ninety-Nine Nights s'inspirait de la série Dynasty Warriors pour nous permettre de massacrer des centaines d'ennemis avec une poignée de personnages surpuissants. Quatre ans plus tard, le studio Q Entertainment remet le couvert en nous proposant des batailles encore plus sanglantes. Cette surenchère d'hémoglobine sera-t-elle payante ? Marchant une nouvelle fois sans complexe sur les plates-bandes de l'éditeur Koei, N3 II : Ninety-Nine Nights s'appuie sur le concept aussi étriqué que vieillissant des différents "Warriors". Il s'agit donc pour le joueur de parcourir d'immenses champs de bataille avec un héros totalement surhumain afin d'accomplir diverses missions en taillant en pièces des milliers d'ennemis. Néanmoins, alors que les nombreux épisodes des sagas Koei disposent d'un background très fouillé et d'un gigantesque casting de personnages charismatiques, N3 II, lui, ne peut hélas compter que sur un scénario archi-convenu (l'invasion d'un gentil royaume par les armées du Mal) et seulement cinq combattants insipides et mal doublés (guerrier, elfe, barbare...). Côté gameplay, il ne faut pas s'attendre à des miracles non plus.
Ninety-Nine Nights II
Le moins que l'on puisse dire, c'est que le premier Ninety-Nine Nights, qui braconnait déjà sur les terres sanglantes de Dynasty Warriors, n'avait pas vraiment convaincu les foules en 2006. Il est donc surprenant aujourd'hui de voir débarquer cette suite qui reprend dans les grandes lignes les maigres atouts de son aîné. Et la plupart de ses défauts...Confiée dorénavant aux prétendus bons soins du studio Feelplus, l'affaire ne commençait pourtant pas trop mal. Les cinématiques et diverses cut-scenes ont de la gueule, tandis que les premiers instants sur le champs de bataille impressionnent durablement la rétine, tant la masse ahurissante d'ennemis à moissonner se fait pressante autour de son personnage surpuissant, le tout enrobé d'une débauche d'effets graphiques outranciers lorsqu'on laisse parler la magie. Un sacré morceau de bravoure technique, que la Xbox 360 affiche sans sourciller le moins du monde. Une fois l'introduction terminée, on a la possibilité de customiser sommairement son héros en distribuant l'XP engrangé et surtout de choisir entre plusieurs personnages qu'il faudra débloquer au fur et à mesure de son avancée.
Ninety-Nine Nights II
La conférence E3 de Konami l'a fait entrer cette année dans la légende, mais c'est bien tout ce qu'il restera au final de Ninety-Nine Nights II : un objet de rigolade. Suite de l'un des supposés fers de lance de la Xbox 360 au Japon (une croûte, en vérité), le beat'em all massif est retourné quatre ans sur l'île de la Mort en espérant renaître tel le Phénix. Ou le roitelet. Confiée à Feelplus, capable du meilleur et souvent du pire, cette suite réussit l'exploit d'être encore plus terne et monotone que l'original. Déjà que l'on passe le plus clair de son temps à défricher des champs d'ennemis moches et clonés, parfois alignés sur une centaine de mètres (!), autant faire en sorte que les environnements soient un minimum variés. N3II a pourtant quelques mérites : les furies de certains personnages impressionnent, le compteur de combos s'envole en deux temps, trois enchaînements et le fait de pouvoir attribuer soi-même quatre techniques de son choix offre un panel d'actions un peu plus varié que d'ordinaire. Hélas, la difficulté arbitraire oblige bien souvent à revenir en arrière faire de l'XP, histoire de ne pas perdre à nouveau trois-quarts d'heure de jeu à cause d'un boss totalement en inadéquation avec le niveau de ses péons.
Ninety-Nine Nights II (Preview)
Il aura donc fallu patienter un an avant de pouvoir mettre la main sur Ninety-Nine Nights II, un beat'em all signé Feelplus qui fut dévoilé lors du Tokyo Game Show 2008. Si le premier épisode est loin d'avoir laissé un souvenir impérissable, Konami - chargé d'éditer le jeu - croit dur comme fer aux qualités supposés de ce second chapitre, qui va devoir faire preuve d'une immense originalité pour parvenir à se faire remarquer dans un genre de plus en plus embouteillé. Sur le stand de Konami, Ninety-Nine Nights II tournait sur quatre écrans plats, aux cotés de Darksiders : Wrath of War et Silent Hill : Shattered Memories. Impossible de l'esquiver donc, surtout avec les coups d'épée qui tranchaient les tibias et les aisselles dans un boucan d'enfer. Le scénario du jeu s'appuie sur la lutte sans merci que se livrent la Lumière et les Ténèbres depuis la nuit des temps, et une troisième force maléfique incarnée par le Seigneur des Ténèbres s'ajoute à tout ce joyeux petit monde. Puisque l'union fait la force dans Ninety-Nine Nights II a priori pour mettre un peu d'ordre, il sera possible d'incarner plusieurs personnages qui présenteront chacun un profil bien défini, histoire d'éviter le piège traditionnel des doublons - et de justifier la présence du mode coopérartion.
Gamekult
Ajouté le : 09/2009
Plus accessible...
Ninety-Nine Nights II (Preview)
Longtemps mis en avant par Microsoft comme l'un des titres susceptibles de percer le marché japonais, Ninety-Nine Nights n'aura laissé au final que le souvenir d'un beat'em all spectaculaire mais creux et surtout mal peaufiné. Aujourd'hui, c'est à Konami que revient la tache de faire oublier ce passé fâcheux, en éditant la suite en exclusivité Xbox 360. Est-ce que Feelplus, le studio de Lost Odyssey, a su tirer les leçons du passé en reprenant la licence des mains de Phantagram ? Premières impressions. Le duel entre la Lumière et les Ténèbres ensanglante le royaume depuis l'apparition du Seigneur de la Nuit, qui sème la terreur depuis la forteresse d'Orfair, au Nord du pays. Un homme va se lever pour mettre un terme à tout ce désordre, et vu la facilité avec laquelle il entasse les cadavres, Glen n'a pas l'air d'être revenu pour parler sophrologie. Ou alors à sa manière, brutale et sans détours. Un héros solitaire, voilà qui tranche avec les scénarios entremêlés du premier volet, mais la perspective d'un mode deux joueurs laisse supposer que Glen aura au moins un compagnon sur qui s'appuyer.
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Ninety-Nine Nights II : (4.4/10)
10 tests d’experts
Aucun avis d'internautes
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