Wiko Fever

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Nous avons réuni 6 tests du Wiko Fever. Les experts notent Wiko Fever 6.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Wiko Fever et d'autres SmartPhone Wiko.

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Test Wiko Fever

CNET France

Ajouté le : 03/2016

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6.0/10

Wiko Fever

Créé en 2011, dans le sillon de Free et des forfaits sans engagements, Wiko a rapidement conquis une clientèle en quête de smartphones polyvalents et à bas coûts. C'est ainsi qu'en seulement cinq ans cette jeune marque s'est octroyée près de 17% de part de marché dans un secteur pourtant très concurrentiel. Son dernier Fever 4G entre nos mains depuis plusieurs semaines, ne marquera pas les esprits question style. Si l'originalité d'un cadre phosphorescent attire l'attention, l'ensemble du design parait assez insipide. La façade arrière est constituée d'un plastique peu qualitatif qui craque et s'incurve (légèrement) sous la main, ce qui ne renforce pas le sentiment de robustesse. Cette dernière se détache et donne accès aux deux ports SIM ainsi qu'à la micro SD. Les touches de contrôle (volume et on/off) ne respirent pas non plus la qualité, et leur positionnement très proche l'une de l'autre peut porter à confusion. Enfin, comme sur de nombreux smartphones, le haut-parleur se situe au dos ce qui n'est évidement pas une position idéale.Malgré tout, le tableau n'est pas entièrement noir. La face avant dispose d'un verre Corning Gorilla Glass 3 avec traitement 2.5D qui adoucit ses traits, de plus, le pourtour est fait d'un plastique légèrement arrondi qui rend la prise en main agréable. La seule originalité de ce smartphone demeure ces bandes fluorescentes qui l'encadrent (d'où le nom Fever…). Au-delà de l'aspect esthétique, cette caractéristique permet à la nuit tombée de mettre rapidement la main sur son téléphone. Une bonne idée qui mériterait de se généraliser. Un écran à la hauteur !Si les premières générations de Wiko ne brillaient pas par la qualité de leurs écrans, la marque sino-française a depuis corrigé le tir ! Le Fever dispose d'une dalle IPS de 5.2 pouces, affichant une définition de 1920 x 1080 pixels, soit une résolution de 423ppp. L'écran est très lumineux et lisible en extérieur, le contraste s'il n'atteint pas celui d'une dalle AMOLED est tout à fait correct, idem pour les angles de vision. De quoi réellement offrir une expérience pas très éloignée des haut de gamme, pas mal pour un smartphone positionné sous la barre des 200 euros.Une interface complète...Si certains de ses concurrents préfèrent laisser une expérience « pure » d'Android, Wiko joue la carte de la personnalisation et a revu l'interface Android de base. Premier point marquant, oubliez le tiroir...

01net

Ajouté le : 01/2016

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6.0/10

Wiko Fever 4G

Un smartphone qui brille dans le noir ? Voilà la dernière lubie de Wiko avec ce Fever 4G. Muni de deux bandes phosphorescentes habillant les tranches de l'appareil, il est ainsi visible dans le noir complet. Reste maintenant à voir si le Fever 4G n'est qu'un gadget ou un smarphone qui tient la route. A 199 euros, nous n'avons pas vraiment eu de surprise en sortant le modèle de la boîte. C'est le plastique qui règne ici en maître, notamment sur le dos dont le revêtement granuleux veut vainement imiter le cuir. L'assemblage n'est pas non plus fantastique, cette pièce en plastique très fin constituant le dos ayant tendance à grincer facilement dès qu'on la manipule. Difficile également de vous montrer en photo le rendu du système phosphorescent, il en effet très faible et ne sert réellement qu'à retrouver son smartphone sur sa table de nuit dans le noir. L'écran est quant à lui plutôt une bonne surprise, la dalle IPS de 5,2 pouces est lumineuse (450 cd/m²) et sa définition Full HD livre une résolution assez fine de 424 pixels par pouces. Les textes s'affichent donc précisément, sans crénelage intempestif. Si l'interface est globalement réactive (même on s'y reprend de temps en temps à deux fois pour lancer une application), on est cependant un peu déçu par les performances du processeur ARM Cortex A53 huit cœurs à 1,3 GHz. Avec 26 images par secondes en moyenne à notre test sous le jeu Epic Citadel, le résultat n'est pas brillant. Difficile dans ces conditions de jouer à des titres 3D gourmands comme Real Racing 3 et tout bonnement impossible avec Asphalt 8 qui ne semble afficher qu'une seule image par seconde. On se cantonnera alors aux jeux simples et occasionnels plutôt qu'aux simulations exigeantes. Le résultat n'est pas vraiment plus brillant du côté de la vidéo et de la photo. Malgré son capteur de 13 mégapixels, le traitement d'image est mauvais. Même en plein jour, les photos sont floues, délavées et imprécises. Dans l'obscurité, on s'approche tranquillement de la catastrophe tant le Fever 4G semble dépassé par ces conditions. En vidéo, la règle est la saccade, la déformation lors des déplacements rapides et l'absence totale de stabilisation. On se consolera cependant grâce la rapidité de son autofocus. Enfin, l'autonomie du Fever 4G est plutôt moyenne avec 7 heures 7 en utilisation polyvalente. On se rend également compte que dès que l'écran Full HD est sollicité, comme en lecture vidéo,...

FrAndroid

Ajouté le : 01/2016

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7.0/10

Test du Wiko Fever : de quoi faire transpirer la concurrence ?

Nous l'avons inlassablement répété tout au long de l'année, 2015 a marqué un véritable bouleversement dans le monde des smartphones d'entrée de gamme. Désormais, pour moins de 250 euros, il est désormais possible de trouver des appareils de bonne qualité, dotés de beaux écrans et de performances dignes de ce nom. Des constructeurs comme Alcatel One Touch, Acer ou encore Archos ont sorti des appareils au rapport qualité-prix incroyable ces derniers mois. Et Wiko alors ? Et bien il aura fallu attendre la fin de l'année pour que le (presque) français sorte l'un de ses meilleurs terminaux en termes de rapport qualité-prix. Place au Wiko Fever. Pour vendre son Fever, Wiko a mis en place une campagne de publicité assez osée basée sur des relations des histoires de couples plutôt pimentées, qui nous ont moyennement fait rire, mais passons. Le seul point commun indéniable entre ces publicités et le téléphone concerne l'aspect fluorescent des tranches du téléphone et les préservatifs eux aussi fluorescents que l'on peut trouver dans la boîte de son édition limitée. Cette fiche technique révèle toutefois un smartphone ambitieux. Pour moins de 200 euros, la proposition est très intéressante. On y trouve un écran Full HD — encore très rare sur cette gamme de prix —, un SoC de milieu de gamme de chez MediaTek déjà rencontré chez des appareils de Meizu, 3 Go de RAM (surprenant pour un appareil Wiko) et un capteur photo de 13 MP. Aucun doute, il s'agit bien d'un concurrent des Idol 3 et autres Diamond 50, ces champions du rapport qualité-prix de 2015. Depuis le début de l'année, lorsqu'il s'agit de smartphones à plus de 150 euros Wiko fait toujours des efforts sur le design. Et sur le Fever, cela se ressent. Le premier bon point, c'est que le mobile est dans l'ensemble plutôt réussi. Avec ses tranches en métal (ou recouvertes de métal, on ne sait pas trop), son épaisseur de 8,3 mm et ses bordures d'écrans assez fines, il est très éloigné des designs grossiers auxquels Wiko nous a habitués l'année dernière. On ne va pas s'en plaindre. La prise en main du téléphone est d'ailleurs plutôt bonne. J'apprécie tout particulièrement le confort de l'appareil. Les tranches en métal arrondies associées à l'écran bombé sur les côtés (écran 2,5D) en font un smartphone qui ne coupe pas les mains et se révèle très agréable au quotidien. Bon point supplémentaire, les boutons physiques placés sur la tranche...

Top For Phone

Ajouté le : 01/2016

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Test du Wiko Fever : la bonne suprise

Le Fever est un smartphone qui brille dans le noir… Voila l'argument principal mis en avant dans la communication de Wiko. Mélangé à une utilisation sexy de cette particularité, les publicités vidéos du smartphone font donc la propagande du Fever à grand coup d'humour coquin et de préservatifs phosphorescents. Mais quel est le rapport me demanderez-vous ? Le lien entre un « bonnet de douche » brillant dans la nuit et le dernier né de Wiko est effectivement un peu « capillotracté ». Soyons clair, l'humour et le sexe font vendre, il ne faut pas chercher plus loin. Mais la marque marseillaise aurait quand même pu axer une partie de sa communication sur des informations vraiment intéressantes, à savoir l'écran, le design, les performances et le prix qui sont de vrais arguments de vente pour le consommateur. Car soyons honnête, la phosphorescence du Fever tout le monde s'en fout ! Pour moins de 200 euros, il ne fallait évidemment pas s'attendre à un produit dessiné par Starck. La face avant du Fever est relativement simple et sobre. Ce n'est pas le cas de l'arrière du smartphone, revêtu d'une coque en plastique texturée désormais habituelle sur les modèles entrée de gamme de la marque (le Selfy entre autre). C'est cet effet « peau de troll » qui est loin de faire l'unanimité, chacun ses goûts. A titre personnel, je ne suis pas convaincu par l'esthétique de cette coque arrière, mais je dois reconnaitre que sa texture donne une excellente prise en main. Cette coque arrière se détache pour donner accès aux différents ports SIM et Micro SD. La batterie n'est malheureusement pas extractible même si elle ne semble être maintenue que par un simple adhésif.

Les Numeriques

Ajouté le : 12/2015

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6.0/10

Wiko Fever : il brille dans le noir sans être une lumière

Quand on navigue dans un océan de produits aux caractéristiques proches — voire identiques —, il devient difficile de se démarquer de la concurrence. Certains misent sur la photo, le design ou encore un écran toujours plus défini. Personne n'avait songé au smartphone phosphorescent ; personne... jusqu'à aujourd'hui. Le Wiko Fever en fait son argument massue. Le Wiko Fever ne propose — heureusement — pas qu'une coque phosphorescente. Son écran de 5,2 pouces, protégé par un verre Gorilla Glass 3, cache une dalle IPS Full HD (1920 x 1080 px). Il est propulsé par un SoC MediaTek MT6753, à 8 cœurs ARM Cortex A53 cadencés à 1,3 GHz, associé à un iGPU Mali-T720 et 3 Go de RAM. 16 Go de mémoire interne sont proposés, extensibles par microSD. Une batterie de 2900 mAh fournit l'énergie à l'ensemble. Pour la photo, on trouve 2 capteurs de 13 et 5 Mpx, respectivement à l'arrière et à l'avant. Pas d'extravagance en termes de connectivité, puisqu'on note la présence du Wi-Fi, du Bluetooth, du GPS et de la 4G (cat. 4). C'est Android 5.1 Lollipop qui se charge de l'animation. Le Wiko Fever a été lancé au tarif de 199 €. L'entière face avant du Fever est recouverte de Gorilla Glass 3, le reste du terminal faisant la part belle au plastique. Le pourtour est habillé d'une bande de plastique mat de bonne facture, elle-même entourée par 2 bandes de plastique phosphorescent. Dans la pratique, on ne peut pas vraiment dire que ce Wiko soit particulièrement visible dans le noir complet. Certes, en y regardant bien, on arrive vaguement à distinguer son cadre, mais pas vraiment plus. Ce n'est finalement pas aussi intéressant que ce qu'on attendait. La face arrière se détache pour donner accès aux ports SIM et microSD. Le plastique qui la compose est en revanche bien plus bas de gamme et ne laisse pas présager une grande durée de vie. Cela s'est vérifié assez rapidement, après la première ouverture : une des accroches n'a jamais voulu se re-fixer correctement. En main, la finition texturée du plastique du dos ne donne absolument pas un sentiment de qualité. Cette seule face arrière parvient à plomber le reste du terminal, plutôt réussi. Le Wiko Fever a ainsi tendance à glisser en main, d'autant que la faible occupation de la face avant par l'écran (69 %) rend l'utilisation à une main périlleuse. Les boutons de volume et de mise en veille sont, eux, bien placés et tombent correctement sous le pouce d'un droitier. Après...

LesMobiles.com

Ajouté le : 12/2015

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Test du Wiko Fever 4G : un smartphone brillant, au sens propre comme au figuré

Pas facile d'apporter une réelle valeur ajoutée sans monter en gamme et c'est évidemment le problème que rencontrent les petits acteurs de la téléphonie mobile à l'heure où leurs segments de marché, entrée et milieu de gamme, approchent la saturation avec des modèles nombreux et déjà suréquipés pour beaucoup. Mais c'est possible. L'Idol 3 en est la preuve. Avec un équipement simple et peu coûteux, Alcatel OneTouch parvient à proposer quelque chose de différent et utile. Encore faut-il trouver l'idée lumineuse qui ne coûte rien, bien sûr. Une quête difficile mais les ingénieurs de Wiko ont fini par en trouver une, au sens littéral au moins, que nous retrouvons aujourd'hui avec le Fever. Cette idée, c'est un cadre phosphorescent. Lumineux donc, et utile ? Ce qui est sûr, c'est qu'elle a bien inspiré l'équipe Marketing à laquelle nous devons la campagne de communication autour du fameux pack Night Fever, avec quatre préservatifs phosphrescents inclus. On peut dire que Wiko est allé loin pour faire parler du Fever et de son cadre phosphorescent, à tel point que l'on en oublierait presque qu'il s'agit aussi d'un smartphone milieu de gamme plutôt bien équipé pour son prix de 199 € alors commençons par un rappel avant d'entrée de le vif du sujet : La fiche technique paraît équilibré et plutôt bien fournie. Il est même rare de 3 Go sur un smartphone à moins de 200 €. Le seul que nous ayons croisé jusqu'ici est le Speed 7 de Zopo, dont la configuration est d'ailleurs très proche dans l'ensemble et cela ne l'a pas empêché de nous décevoir un peu à l'arrivée. Une bon équipement est donc un bon début mais l'intégration est tout aussi importante. Espérons donc que celui du Fever 4G est bien mis à profit. C'est évidemment ce que nous allons chercher à découvrir mais attardons-nous d'abord sur son design « lumineux ». Un smartphone qui a de l'allure Ne tournons pas autour du pot plus longtemps. Le cadre phosphorescent, bonne idée ou non ? La démarche est intéressante par son originalité mais le résultat est loin d'être transcendant. L'utilité est très limitée. Si vous êtes du genre à dormir avec votre smartphone et à le perdre sous la couette, vous parviendrez peut-être à le retrouver plus facilement. Peut-être car la lumière dégagée est plutôt faible, même après une exposition prolongée à la lumière. Cela n'en fait cependant pas une mauvaise idée pour autant puisque l'exécution...

Prix

Marchand Information Prix
Rue du Commerce MarketPlace WIKO Fever 4G Double SIM 4G 16Go Noir, Or 120.93 €
Rue du Commerce MarketPlace WIKO Fever 4G Double SIM 4G 16Go Noir, Gris 129.63 €